"Chantez à l'âne, il vous fera des pets", ou Interludes monomanes
Il est bien connu que ce que l’on fait à autrui n’est jamais rendu au centuple. Loin de là !…
Il est donc à savoir que ce que l’on fait n’est jamais vraiment souhaité par l’autre. Ou rarement.
Si, par une circonstance quelconque, cette “action’’ est adressée en bonne et due forme, elle passe souvent inaperçue. Et si par contre votre geste est au-deçà (ou incompréhensible par l’autre), votre vis-à-vis vous le fera remarquer d’une façon ou d’une autre… En fait, vous avez une chance sur une infinité de tomber juste !… D’où la vie n’est que (approximativement) quelque interlude…
Ceci est, bien entendu, un raccourci bien opportun à faire partager avec d’autres afin d’en tirer le maximum de contrariétés, d’injustices, d’incompréhensions, de maladresses, de drôleries, de petites vérités souvent maniaques dissimulées, d’isolements, de tensions, de ruptures…