Le jeu ici est prépondérant dans la mesure où l’utilisateur visiteur peut créer sa propre Opérette en jonglant continuellement d’une part, avec les sons uniquement et, d’autre part, avec la combinaison sons images.
Pour ce faire, les images proposées doivent être considérées comme des tableaux à part entière, c’est-à-dire une tranche, une pièce de puzzle sonore d’un ensemble à (re-)fabriquer, à mélanger… somme toute à lui donner pour un moment la possibilité d’une existence autre et nouvelle comportant ainsi des connexions-connivences personnelles et ce dans une continuité toujours “logique’’.
L’utilisateur visiteur ne peut donc pas jongler avec l’image elle-même, mais bien “trafiquer, manipuler’’ une suite d’ensembles, c’est-à-dire à chaque fois composer une sorte de finalité momentanée comportant au maximum 36 tableaux. 36 exposant 36 solutions sont au départ à expérimenter sans toutefois compter toutes les possibilités supplémentaires (agrandissement et suppression d’images, orchestration sonore, etc…).